ANSE est membre du réseau Metasysteme Coaching

Témoignages Clients
Témoignages de clients d'entreprises et de clients qui se sont formés au coaching systémique avec nous.

Anse existe depuis 2003, ce sont plus de 6500 heures de coaching systémique individuel, d'équipes et d'organisations.

En Amérique Latine, jusqu'en 2023, nous avons également réalisé plus de 17 promotions de formation en coaching systémique de l'école internationale Metasysteme d'Alain Cardon. Notre école est accréditée Niveau 2 et AATC (coach d'équipe) par l'ICF.

Nous remercions tous nos clients qui nous ont envoyé leurs témoignages en partageant leurs expériences.

Témoignages de coaches systémiques qui se sont formés avec nous en Amérique Latine et en Espagne depuis 2012

Dulia Ortega, Lina Jerves, Salua Buale, Verónica García:

Elles se sont formés lors de la 16ème promotion et ont pris la décision de créer une équipe de coachs systémiques. L'une de leurs méthodes de prospection est à travers des podcasts. Dans ces 2 premiers podcasts, ils parlent de ce que la formation leur a permis. Nous sommes fiers de leurs réalisations. Le podcasts est en espagnol, c’est lors du bonus marketing-vente qu’elles ont eu cette idée qui leur permet de bons résultats et une belle image de marque.
 

Julian Hiervas, Coach Systémique :

La formation en coaching systémique d'équipes a été une expérience transformatrice pour moi à de nombreux égards. Non seulement j'ai appris des compétences puissantes pour aider les équipes à réussir, mais j'ai également découvert une profonde satisfaction personnelle en facilitant la croissance et le développement des individus au sein des équipes.

Cette formation a changé ma perspective sur le leadership et m'a permis de prospérer tant au niveau personnel que professionnel.

 

Isabel Juárez, Coach et Directrice d'Amagi International :

La formation en coaching systémique d'équipes a été un élément essentiel pour le changement culturel dans notre entreprise, Amagi. En tant que coach, j'ai contribué à établir une culture de confiance, d'ouverture et de collaboration au sein de notre équipe.

Cela a eu un effet domino sur nos clients. Nos clients se sentent plus engagés, les idées circulent plus librement et la créativité est à son apogée.

En fin de compte, cette formation a été le catalyseur de notre succès en tant qu'entreprise axée sur l'innovation et l'efficacité.

 

Evelyn Muñoz, Coach et Directrice de NewOak :

La formation en coaching systémique d'équipes a radicalement transformé ma capacité à servir nos clients de manière exceptionnelle.

En tant que coach, j'ai acquis des compétences pour comprendre les besoins de nos clients à un niveau plus profond et pour travailler de manière plus efficace en équipe pour les satisfaire. Grâce à cette formation, nous avons pu résoudre les problèmes plus rapidement, offrir des solutions plus personnalisées et augmenter significativement la satisfaction de nos clients.

Pour quiconque travaille dans un domaine centré sur les clients, cette formation est un atout inestimable.

María Jesús Blasco Blanco, Directrice RH et de l'Organisation dans les Domaines Corporatifs chez Repsol, Coach Interne :

J’ai eu l’occasion de me former avec Claude comme coach systémique en faisant partie de la première promotion d’un réseau de coachs internes destinés à renforcer la culture de délégation dans Repsol.

Cette expérience m’a aidée à mieux comprendre l’ADN des équipes de travail avec lesquelles j’ai collaboré et de la société dans son ensemble, ce qui constitue la base de la culture et des normes de comportement dans notre organisation. Et aussi, sur le plan personnel, cette expérience m’a permis d’améliorer ma contribution et de renforcer mon engagement vis-à-vis des équipes auxquelles j’appartiens et celles que je dirige. Grâce à des outils simples, les équipes sont en mesure d’améliorer sensiblement leur cohésion et leur performance, en canalisant mieux l’énergie et en utilisant mieux le temps consacré à la définition des objectifs, la planification et analyse, la gestion des alliances, le suivi, le contrôle de la prise de décisions et leur mise en œuvre.

En tant que leader, faire un pas en arrière pour donner du pouvoir à son équipe est un exercice qui a priori peut être risqué ; mais une fois initié, il en résulte une addiction pour le leader et pour l’équipe qui, progressivement, génèrent de nouveaux adeptes dans l’organisation pour devenir substrat et catalyseur du changement culturel.

Joël Chatzimichalis, PDG de Toute La Marée:

La formation en coaching systémique d'équipes a été un tournant dans ma carrière. En tant que manager, j'ai assisté à l'incroyable transformation de mon équipe après avoir appliqué les compétences acquises. Notre collaboration s'est améliorée, les conflits sont devenus rares et la performance collective a considérablement augmenté.

Je recommande vivement cette formation à toute personne cherchant à créer un impact positif durable sur les équipes.

Eva Martinez, Coach Systémique :

Mes gains après avoir vécu la formation ANSE-METASYSTEME
  • J'ai gagné plus de patience lorsqu'il s'agit d'accompagner le client dans son silence et plus de courage, de confiance et de tranquillité lorsque je l'utilise moi-même. En conséquence, un silence plus efficace, utile et puissant.
  • J'ai appris à créer un espace plus large, offrant plus de liberté et de perspective pour le client et pour moi en tant que coach.
  • Cela m'a aidé à prêter plus d'attention pendant les sessions aux faits "accidentels" et apparemment peu importants, pour les transformer en source de grandes opportunités.
  • Cela m'a aidé à offrir le coaching d'une manière différente, "Le vivre, plutôt que de le connaître", applicable aussi à la formation.
  • Une formation systémique et très "musicale", l'élève-coach-chef d'orchestre fait sonner chaque instrument-outil. Petit à petit, il les intègre, un après l'autre, un silence de temps en temps, chacun provoque et évoque quelque chose de différent chez l'élève-client. Soudain... il les fait sonner ensemble et la session devient une magnifique symphonie et "tada" l'élève-client atteint son résultat désiré, ou pas... mais au moins l'élève-coach l'a tenté et pratiqué.
  • Ma conscience systémique s'est élargie et j'ai appris à l'intégrer tant dans ma vie professionnelle que personnelle. Ce que j'ai gagné pour l'une, m'est très utile pour l'autre. Maintenant, j’observe la vie, du point le plus proche au plus éloigné, ou l'inverse, ou en même temps, de manière différente et je suis plus capable d'y participer, si je le souhaite, d'une manière plus consciente et utile.
  • Cette formation a renforcé ma conviction et ma croyance que pour grandir en tant que coach, il faut aussi grandir en tant que personne et le fait d'être une formation très pratique dès le début permet aux élèves de grandir ensemble dans les deux sens. "Un grand luxe et un grand cadeau pour moi que d'avoir pu être cliente de tant de collègues-coachs et de si belles personnes".
  • Le feed-forward après chaque pratique me semble très puissant et de grande valeur pour mon amélioration en tant que coach... et bien sûr, en tant que personne. Ce serait bien de me le donner plus souvent à moi-même au quotidien. Je commence dès maintenant.
En définitive, la formation Metasystem a été un très bon investissement pour ma vie, pour tout ce qu'elle m'a apporté, pour tout ce qu'elle a rempli et pour tout ce qu'elle a agrandi.

Fernando Anso, Coach:

Récemment, lors d'une séance de Coaching de dirigeant avec une dirigeante, j'ai pu observer une résonance systémique dans ce que le Client partageait avec moi. En lui renvoyant cette résonance, une perspective différente a émergé chez elle, l'invitant à penser depuis un lieu différent de celui où elle se trouvait auparavant, ainsi qu'à passer à l'action pour résoudre un problème qui, de manière inconsciente, lui causait beaucoup de souffrance.

Pendant la séance, le Client m'a dit que son Père avait souffert d'un AVC et avait été hospitalisé. Elle était inquiète et plus préoccupée par l'évolution de l'état de son Père que par les affaires professionnelles sur lesquelles, a priori, nous devrions travailler. Néanmoins, son discours était centré sur le travail. Elle a commencé à me dire comment ce jour-là "tout" était en défaillance. L'imprimante était en panne, le serveur ne fonctionnait pas et le standard des communications était défaillant. Nous avons terminé la séance et je lui ai souhaité un prompt rétablissement pour son Père.

Deux jours plus tard, le Client m'a appelé pour partager avec moi que son Père avait été autorisé à sortir de l'hôpital et qu'il était maintenant à la maison. Elle était très heureuse. Je lui ai demandé pour les services de photocopie, serveur et communications qui avaient échoué quelques jours auparavant. Elle m'a dit que, par coïncidence, le jour où son Père a été autorisé à sortir, tout a recommencé à fonctionner. Je lui ai dit : "c'est comme si au moment où une partie du corps de ton Père a cessé de fonctionner, d'autres choses dans ta vie ont cessé de fonctionner aussi". C'est vrai, a-t-elle dit tout en réfléchissant. Ensuite, je lui ai demandé : "Que vas-tu faire, quand ton Père ne sera plus là, pour que tout continue de fonctionner dans ta vie ?". Elle est restée silencieuse quelques minutes et a répondu : Merci. Il est temps que je m'occupe de cette affaire.

Ceci est un bon exemple de la manière dont le Coaching Exécutif Systémique permet de résoudre des situations qui, bien qu'étant du domaine personnel, ont un impact direct sur le professionnel. Comme le dit une référence pour moi en Coaching : "Les choses n'arrivent pas par hasard..."

Myriam Camps, Coach PCC

Cette formation m'a permis :
  1. De me plonger dans le coaching systémique, j'ai suivi ce cours en raison de mon intérêt pour tout ce qui est systémique et je ressens de plus en plus son importance. Ce coaching m'a introduite à la conscience systémique et quand je pose des questions telles que : "et qui d'autre doit entrer dans ton système ?" ou "qui te perturbe dans ton système ?" ou "que t'arrive-t-il dans ce système ?", je réalise à quel point ces interventions sont puissantes dans de nombreux cas, - le client ressent quelque chose de différent, est déstabilisé, commence à sortir de son cadre de référence.
  2. J'emporte avec moi un coaching qui me sert et qui combine le meilleur pour l'individu ou le groupe et, grâce à la magnifique et claire orientation vers les résultats de celui-ci, également le meilleur pour l'entreprise. C'est un coaching très efficace et surtout très efficient.
  3. Apprendre à travailler le processus, pas le contenu du client. Le processus est le contenu du coach. Ce concept me semblait si difficile au début, je ne le comprenais pas ni ne savais comment le faire, et puis un jour, ça a fait tilt et j'ai compris. Que c'est puissant ! – En fait, je vais vous raconter une expérience vécue : j'ai eu une session avec un client étranger, en anglais (je ne donne pas plus de détails pour des raisons de confidentialité) – ce client était un entrepreneur qui avait sa propre entreprise, il m'a expliqué en détail l'objet de son entreprise, il voulait le faire, il en avait besoin pour que je "le comprenne". Mais l'entreprise était tellement technique avec une terminologie en anglais que je ne connaissais pas, que je n'ai presque rien compris – le bon côté, c'est que cela ne m'importait pas, je n'avais pas besoin de comprendre cela pour me concentrer sur le processus et malgré le scepticisme avec lequel le client est venu à la session, il a atteint son résultat. À la fin de la session, il m'a dit : c'est la première fois que j'explique mon entreprise à quelqu'un de l'extérieur et qu'il la comprend si rapidement – je n'ai pas répondu, pourquoi le faire ?, j'ai juste souri.
  4. Connaître et apprendre de Claude - direct, efficace, affectueux, exigeant, sûr, provocateur, dominant, bon maître - tous ces jugements et évaluations sont les miens, je le sais, mais je les laisse là.
  5. Connaître et apprendre de mes collègues, nous formons un petit groupe et une relation étonnamment riche et transparente s'est créée.
  6. Faire un contrat de coaching et savoir vendre le coaching. C'est la première fois que je vois ces concepts si clairement et la méthodologie apprise est si puissante.
Et j'ai appris bien plus encore, j'ai appris des choses sur moi, sur mon environnement, sur mon système, sur ma vie, sur mes projets, sur mes défis, … pour tout cela, je suis plus que reconnaissante à la vie de m'avoir amenée à connaître ce Programme.

Merche Aranda, Coach MCC :

En 2006, je me suis formée dans l'une des écoles de coaching les plus prestigieuses des États-Unis, la formation que j'ai reçue était de haut niveau. Elle m'a apporté une perspective logico-linguistique très élevée puisque j'ai développé ma communication directe, je suis devenue consciente de l'importance de générer des changements de perspectives pour le client et de faire confiance qu'il détient toutes les réponses dont il a besoin. J'ai appris à écouter ce qui est dit et ce qui ne l'est pas, sa musicalité et ses intonations, ses incohérences entre ce qu'il dit et ce que son corps exprime.

Récemment, j'ai eu l'opportunité d'élargir ma formation avec l'école Anse-Metasysteme, qui m'a permis de développer un niveau d'excellence dans des compétences telles que la présence et l'écoute, à partir du silence et de me connecter avec le processus de coaching d'une manière très différente. De par mes caractéristiques personnelles, j'ai toujours eu une grande capacité d'écoute, qui s'est développée davantage, si possible, avec ma formation antérieure, mais avec la perspective du coaching systémique de l'école Anse-Metasysteme, j'ai véritablement pris conscience de ce qu'est le système et comment écouter ce système depuis le silence.

Et à partir de cette manière d'écouter, je pose maintenant moins de questions, de manière beaucoup plus profonde, courte et intuitive, en me concentrant davantage sur le processus et non tant sur le contenu. Ma manière d'être, d'observer et de ressentir ce qui se passe dans la session est totalement différente. Je cherchais une manière de faire du coaching depuis les entrailles et chez Anse-Metasysteme, je l'ai trouvée. C'est un coaching de subtilité, générateur de changements très profonds en très peu de temps. Sa manière de travailler avec les émotions m'a surpris et m'a apporté une nouvelle perspective pour les aborder.

Une autre contribution que j'ai beaucoup appréciée est la manière dont le code éthique est constamment travaillé, car ils placent le coach dans un point de respect continu envers le client. Un soin scrupuleux est apporté à l'établissement du contrat. De plus, une autre question très importante est la manière dont ils vous apprennent à préparer votre esprit pour le processus de vente du coaching sans que cela devienne un produit, mais à partir de ce que vous êtes et ce que vous ressentez.

J'ai également appris à gérer le temps des sessions de manière plus efficace. Et enfin, depuis la perspective systémique de Metasysteme, j'ai commencé à développer ma conscience systémique et maintenant, oui, je suis claire qu'il n'y a pas de différences entre faire du coaching à une personne, à une équipe ou à une organisation.

Rafael Casenave Lee, Repsol, Ingénieur des Mines, gestionnaire de fiabilité industrielle.

La formation au coaching systémique avec Claude a été un cadeau pour moi. Je me sens très chanceux d’avoir pu vivre cette magnifique expérience qui m’a permis un développement personnel très important et m’a apporté des outils pour apprendre à observer les choses différemment et interagir avec les gens d’une manière plus active et positive.

Je pense que la formation m’a permis d’atteindre l’objectif que me demandait mon entreprise : contribuer à l’animation des équipes et au changement vers des modèles de travail en équipe de haute performance. Les équipes qui reçoivent cet accompagnement découvrent qu'elles peuvent être plus fortes en tant qu’équipe et, à un moment donné, qu’elles sont maîtresses de leur volonté pour diriger leurs pas vers les objectifs qu’elles décident de se fixer. Elles développent la connaissance de leur propre équipe, découvrent les forces de chaque membre, de ce que chacun peut apporter et, ce qui est plus important : ce qu’elles veulent vraiment atteindre comme objectif.

Arrivées à ce point, certaines équipes – en principe, celles qui recherchaient activement cet accompagnement – commencent à travailler comme une équipe intégrée, engagée et naviguant avec efficacité vers ses objectifs en les atteignant rapidement. D’autres équipes, qui peuvent douter de vouloir réellement changer et faire différemment, sont au moins conscientes que ça peut se faire. Maintenant, elles savent qu’elles peuvent se mettre en chemin si elles le veulent.

Mes collaborateurs profitent de cette façon différente de faire les choses. En effet, la mission de l’équipe et ses objectifs sont clairs. Pour toutes les actions, ils privilégient le « quoi », le « comment », et surtout « le pour quoi », ils sollicitent la participation active de tous les membres de l’équipe et encouragent le développement et l’autonomie de leurs attributions. Être conscient que les différences des personnes qui composent une équipe sont des ressources détend les relations au sein du groupe et facilite l’attribution de tâches et fonctions. Un autre aspect clé différenciateur de ce qui pouvait se passer avant est l’approche selon laquelle les échecs deviennent des apprentissages et amènent des changements destinés à l’amélioration future.

D’un point de vue personnel, cette expérience a été le point de départ d’un grand changement intérieur. C’est arrivé à un moment de ma vie où, d’une manière plus ou moins consciente, je percevais qu’il y avait certains aspects de ma vie avec lesquels je me trouvais mal à l’aise et qui, en fin de compte, me rendaient malheureux. Intérioriser de manière cohérente cette nouvelle façon d’aborder les défis m’a fait passer à l’action et m’a permis de résoudre mes doutes et d’identifier plus clairement quels sont mes objectifs personnels et comment les obtenir. C’est certainement un tournant décisif qui marque une nouvelle étape dans ma vie.

Beatriz Díaz, Coach PCC :

Comme le disait Gaudí, pour être original, il faut revenir aux origines et pour moi, c'est ce que ce cours a signifié. Aller à l'origine, à l'essence du métier de coach. Expérimenter le pouvoir du silence à travers une écoute authentique a changé mon style de coaching, avec des effets extraordinaires, magiques et puissants. Je me suis approchée de cette formation pour découvrir le pouvoir de ce qui émerge, quelque chose que je savais être en moi, mais que je craignais parfois d'offrir au client. Maintenant, je n'ai plus peur de partager ce qui se passe dans le système créé par le client, dont je fais partie.

Mettre en lumière les ombres, savoir se connecter à cette énergie a donné plus de sens à ma manière d'être et de faire du coaching.

Il est vrai que j'ai résisté à désapprendre. Ah, l'ego du coach ! Mais quand je l'ai fait, l'expérience de couler avec mes clients, avec mes collègues, avec

Claude m'a permis un profond sentiment de joie, de connexion avec quelque chose qui me permet d'être moi-même tout en faisant partie de quelque chose de plus grand que moi.

Expérimenter le pouvoir de la présence, cette présence sans intention, en faisant confiance aux ressources du client. Ce cours m'a permis de me connecter à cette manière d'être dans la relation de coaching. Il m'a aussi rappelé qu'il n'y a rien de plus sérieux que de cultiver le sens de l'humour avec le client, apportant de la légèreté face aux situations.

Il m'a également permis d'augmenter mon activité car Claude vous donne des clés pour vous connecter avec les clients, des clés apparemment simples, mais qui distillent de la sagesse et qui sont le fruit d'un chemin plein d'apprentissages.

Cette formation est comme faire du surf entre les vagues, vous regardez la mer, l'horizon. Patiemment, mais avec une attention pleine, vous attendez cette vague. Il n'y a rien d'autre autour de vous. Ce moment est unique, mais plus unique encore est le moment où la vague commence à se briser en jetant de l'eau sur votre tête.

Vous sentez que vous êtes au bon moment, au bon endroit. C'est un instant de perfection, de plaisir, d'amusement et de paix, qui bien qu'il dure quelques secondes, vous savez que vous le garderez en mémoire toute votre vie.

Merci Claude de m'avoir rappelé comment surfer sur les vagues.

Lourdes Cabero, Coach Systémique PCC :

Le premier groupe d'étudiants des Fondamentaux du Coaching Systémique d'Alain Cardon à Madrid a débuté son parcours le 15 octobre 2012, sous la direction de Claude Arribas. Je souhaite partager quelques apprentissages de cette merveilleuse expérience :
  • MOINS C'EST PLUS. On expérimente l'écoute sans intention et la présence systémique, en entraînant des gestes minimaux, précis, pour créer la relation en coaching. Moins de questions, plus d'espace pour que le client trouve son sens. Pure zen.
  • NOUVELLES CONNEXIONS NEURONALES. Pendant tout un mois, pratiquer et pratiquer, révisant et améliorant de manière constante, affinant et purifiant la technique, jusqu'à atteindre une sécurité et une précision totales.
  • TRAVAILLER AVEC CE QUI ÉMERGE. Un exemple : un client travaillait sur la paresse concernant une question, sans presque intervention du coach. En révisant la session, il aurait été utile de lui demander respectueusement la permission de partager une perception (avec l'option de ne pas être d'accord, bien sûr) et après avoir attendu une réponse en silence, commenter : «j’observe qu'à ce moment tu es en train de travailler, comment le vois-tu ?". Cela aurait renforcé positivement un comportement différent de la paresse, dont il n'était pas conscient.
  • FEED-FORWARD. Imaginer des options d'amélioration immédiatement après la séquence de coaching est très puissant puisque les apprentissages s'intègrent à un niveau plus profond.

Marisa Gómez, de Repsol, spécialisée en Assistance Technique pour l'Extrusion de Polypropylène (PP), coach interne

Ma première séance de coaching systémique a eu comme prémisse d’écouter en silence, en pleine conscience, sans jugement, sans langage verbal ou non verbal. Cela semble simple, ou non, et c’est peut-être cette simplicité qui m’a mise sur la voie, m’a transformée pour m’aventurer à observer différemment. De nouveaux mots puissants ont commencé à émerger en moi chaque jour, tels que « présence », « confiance », « ponctualité »… et ces mots ont grandi en moi, et ce faisant, ils ont grandi aussi dans les équipes que j’ai accompagnées par la suite.

Le coaching systémique ouvre une porte pour faire les choses différemment. Et il génère un espace collaboratif pour que l’équipe se développe et obtienne les meilleurs résultats. Si tu veux changer, si tu veux gagner, accepte les défis et ose naviguer. La traversée vaut le coup.

Alfonso MENENDEZ CRUZ, Repsol, Chef de projet HSE, coach interne.

Quand je regarde en arrière et que je pense au process que j’ai commencé il y a trois ans et demi, en me formant comme coach systémique pour essayer de transformer la culture de mon entreprise à travers les équipes de travail, je ne peux pas m’empêcher de penser ce que cela a représenté, tant pour moi au niveau personnel qu’au niveau de la culture de ma compagnie.

Ce que j’ai expérimenté dans ce voyage vers la transformation de la culture de la compagnie a été une transformation personnelle que je ne pouvais imaginer au départ. Aujourd’hui, je suis convaincu que, pour être cohérent et pouvoir impulser cette transformation culturelle, il doit se produire, avant, une transformation personnelle afin d’être à même de transmettre le changement voulu.

Ce processus te permet l'acquisition de compétences qui ne peuvent pas se détacher de ta personnalité et de ta façon de voir et de te comporter dans la vie. Il transforme ta vie, il transforme ton environnement, il transforme tout le système. Et, dans l’époque où nous vivons, disposer de compétences qui te permettent de générer changement et transformation, que ce soit comme leader ou comme coach, pour aider les autres, est un cadeau.

Héctor Díaz, Repsol, Directeur des Services Partagés, QUIRIQUIRE GAS, S.A.

Parfois, je réfléchis à la manière dont je suis arrivé à ce programme de formation au coaching interne de la compagnie en étant ingénieur électronique de profession et en ayant travaillé toute ma carrière professionnelle (dix-huit ans) dans la zone d’opérations et la maintenance de la compagnie. Très souvent, cela provoque une moue ou une expression sur le visage de mes collègues de travail, qui veut dire : « OK, quelle mouche l’a piqué ? » J’aime beaucoup ce moment. Je l’utilise comme levier pour déclencher la curiosité. Dans cette réflexion, je visualise mon parcours comme un chemin logique, puisque le lien qui unit une usine ou une installation à un résultat, c’est la façon dont les gens effectuent leur travail, c’est ce qui les rend performants ou non.

C’est le défi que nous avons, nous, les dirigeants actuels à l’échelle mondiale, défi qui se transforme en questions, par exemple : comment permettre à nos collaborateurs d’obtenir des résultats extraordinaires ? Comment rendons-nous ces process durables dans le temps ? Comment créer un écosystème d’apprentissage et d’efficience ? Comment développons-nous l’autonomie de nos équipes ? Comment prendre des décisions opportunes et fermes ? Comment utiliser les différences comme des ressources au service de l’équipe et de la compagnie ? Comment offrons-nous à nos collaborateurs l’opportunité de briller, de développer leur potentiel au-delà des attentes ?

« Transformation » est le mot qui, je pense, résume mon expérience avec le coaching systémique, un changement de mon cadre de référence, grâce auquel j’ai eu une influence positive sur mon environnement, un catalyseur du changement de l’intérieur vers l’extérieur, de la personne vers les équipes et les groupes. Une stratégie puissante qui utilise les différences en tant que ressources pour les placer au service de l’équipe et, plus globalement, au service de l’organisation.

L’écoute sans intention et le silence sont mes outils les plus puissants. C’est de cette façon que j’accompagne mes clients en résonance avec le système sans entrer dans le contenu. C’est une compétence qui est à la fois simple et complexe ; les pratiquer est la meilleure façon de s’entraîner, de les peaufiner et de les améliorer. Car, en tant que coach interne, il est très facile d’entrer dans le contenu du client. Tomber dans ce piège est un des plus grands risques de ce processus.

Le coaching systémique permet d’avancer, d’aller plus loin, de sortir de sa zone de confort pour explorer de nouvelles voies. Il permet d’obtenir des résultats « extraordinaires » ; ceux qui te laissent bouche bée sous le coup de l’émotion ou la surprise, ceux-là que tu n’avais même pas imaginés en rêve.

Jesús Javier Rey Dopico, Repsol, Coach Interne

Je me considère très chanceux parce que ma société m’a choisi pour faire partie de l’un des groupes qui impulsent le projet de transformation. Mes débuts ont été aussi déconcertants qu’enthousiasmants et stimulants. Pour moi, le mot « coach » signifiait simplement « entraîneur ».

La première intervention de Claude, que l’entreprise avait très judicieusement choisi pour nous former au coaching systémique, visait à clarifier ce que cela signifiait. Avec lui, la première chose que nous avons apprise a été, en plus d’être ponctuels, de garder le silence lorsque nous communiquions. Que c’est important d’écouter et de savoir écouter activement ! Entre enseignements théoriques et nos pratiques à deux dans les rôles de coach-client, nous avons appris ce qu’est « agir sans intention », « poser des questions puissantes », « donner des feedforwards  », « l’influence de l’environnement » et tout un ensemble de concepts et outils qui m’ont peu à peu imprégné et sont devenus une passion. Sans que je m’en rende compte, ils m’ont transformé en tant que personne et rendu meilleur.

Et cette graine qui avait été semée a commencé à germer, et le fait d’être meilleur m’a permis – en étant conscient de l’importance des concepts tels qu’avoir des contrats clairs ou dire ce que je pense – d’interagir plus clairement et efficacement avec les personnes de mon équipe, et de cette façon, d’obtenir d’eux le meilleur pour atteindre les objectifs définis. La transformation que je vivais affectait déjà positivement mon environnement de travail, ce qui nous permettait – et nous permet aujourd’hui – d’avancer plus facilement. L’effet positif s’est également produit dans mes relations personnelles, en dehors du cadre professionnel.

Que la notion de feedfoward – qui nous enseigne que nous pouvons donner notre vision de ce que l’autre a fait en y ajoutant en plus la manière dont nous pensons qu’il peut l’améliorer – est puissance ! C’est incroyable de voir à quel point les autres sont réceptifs et positifs devant cette manière d’agir. Pour l’anecdote, quand j’agis de cette façon, ma femme dit souvent, avec ironie : « le coach est là… »

Mais la transformation ne s’est pas arrêtée là, dans mon équipe ou mon cercle familial ou amical. Presque sans m’en rendre compte, j’avais commencé à apporter ma petite pierre au projet auquel j’avais été associé, j’aidais à impulser le changement culturel. Maintenant, je me souviens avec humour de ma nervosité, quelques heures avant de débuter avec la première équipe qui m’avait été affectée afin de les accompagner comme coach systémique pendant six mois. La preuve que, quand il y a de l’envie et de l’enthousiasme, aucune barrière ne résiste. Cette nervosité qui me tenaillait a disparu au moment de me présenter aux autres. Ces six mois ont été passionnants en voyant comment mes interventions permettaient de faire progresser l’équipe dans sa prise de décisions et en voyant comment le modèle des quatre quadrants ou celui des réunions déléguées leur permettaient à eux aussi d’être meilleurs, plus performants. Et ce n’était pas un hasard : les équipes suivantes ont vécu la même chose. Les enseignements de Claude produisaient des résultats.

Aujourd'hui, les résultats sont évidents et s’apprécient clairement dans toute l’entreprise, ce que j’observe au niveau des comportements, attitudes et procédures chaque fois que je suis en contact avec les différentes divisions de la compagnie. La transformation est un fait et n’a pas de marche arrière. À partir de la transformation en tant qu’individu, nous avons pu permettre à nos équipes et à toute l’organisation de se transformer aussi pour avancer dans un process d’amélioration continu et évolutif, qui nous rend chaque jour plus performants et meilleurs.

Abel Frias Gómez, Repsol, Coach interne et coach externe

J’ai eu le privilège de faire partie – avec vingt autres collègues – de la première promotion de coachs internes de Repsol, dont la formation a été assurée par Claude Arribas de septembre 2013 à juin 2014.

Cette expérience m’a permis de réaliser une grande transformation, tant au niveau personnel que professionnel. J’ai réveillé en moi la créativité, la capacité de penser et de faire penser différemment, le désir d’écouter, une plus grande confiance en moi et plus de sérénité, en fin de compte, une approche positive de la vie.

L’accompagnement de mes équipes m’a rempli de satisfaction. Le fait de contribuer à leur consolidation, à leur plus grande efficacité et motivation pour qu’ils atteignent leurs objectifs, et surtout recueillir la sincère satisfaction de ces mêmes équipes, est quelque chose qui n’a pas de prix.

Merci, Claude, pour tout ce que tu m’as permis. Merci pour l’enthousiasme et la passion que tu m’as communiquées et que je vais utiliser, à mon tour, pour faire du coaching mon nouveau métier.

Je te souhaite que ton nouveau livre soit un grand succès, tu le mérites vraiment.

Javier Sopuerta, Repsol, Transformer tout en agissant ou Agir tout en transformant, Coach interne, coach externe

Repsol développe actuellement un projet de transformation culturelle lui permettant de s’adapter aux nouveaux environnements concurrentiels du marché.

Quand on envisage ce type d’initiative, on associe souvent projet de « changement culturel » et « long terme ». Rien n’est plus éloigné de la réalité : pour traduire un changement culturel en avantage concurrentiel réel, il faut le mener le plus rapidement possible, de telle sorte que le marché perçoive clairement un vrai gap face aux concurrents.

Eh bien, pour atteindre cet objectif, Repsol met en branle un processus d’amélioration de la performance qui consiste à faire de « l’équipe » vs. le leader formel ou le « chef » le protagoniste des décisions efficaces.

Nous faisons appel pour cela à la collaboration de Claude Arribas. Son objectif : transformer un groupe de collaborateurs appartenant à différents niveaux de l’organisation en « coachs » qui propagent le changement et l’amélioration de la performance à toute la compagnie.

J’ai l’honneur d’avoir fait partie de ce groupe d’agents du changement et d’avoir contribué à être un vecteur d’amélioration de cette société.

À travers ces quelques lignes, je tiens à souligner le rôle extraordinaire de Claude dans l’accompagnement de ce processus de transformation.

Cláudia Alves, Repsol Portugal, Ingénieure et coach interne.

En tant qu’ingénieurs, nous sommes toujours sceptiques face à ce type d’expérience ; nous arrivons avec des attentes très faibles de type : « Que vont-ils nous vendre maintenant ? » Avec moi, ça n’a pas été différent… Mais, au bout de quelques heures, tu te rends compte que quelque chose captive ton attention. C’est le moment où tu réalises que ça marche réellement ! C’est incroyable de voir comment quelque chose de si simple peut être en même temps si puissant, permettant aux leaders, aux équipes et aux entreprises d’atteindre l’excellence et des résultats de haut niveau de performance.

Témoignages du monde de la santé, des PDG, leaders d'équipe, managers qui ont vécu un accompagnement de coaching d'équipe

Témoignages du monde de la santé :

En conclusion du coaching d’organisation, les mots de Giesela Schweizer quand elle dit que le plus intéressant est d'avoir des éléments d'ordre dans les dynamiques, d'avoir un facilitateur, un rôle qui surveille le temps permet de se concentrer sur le sujet, puisque souvent on va à des réunions pour discuter d'un sujet et on finit par parler de beaucoup d'autres sans prendre de décisions, en plus, les réunions qui pourraient prendre 30 minutes, s'allongent. La méthodologie était très intéressante, le fait de pouvoir écouter les autres, aujourd'hui dans les réunions, personne n'écoute, nous nous sommes écoutés, nous avons su dire des choses que normalement nous ne disons pas, de manière rapide et en si peu de temps.

Les mots de l'Infirmière Patricia Gutierrez, Directrice de la Qualité à la Clinique Los Coihues quand elle dit que ce qui l'a le plus marquée est la manière dont la conversation a lieu. Ils nous ont permis d’observer sur notre façon de communiquer, sur notre dynamique. En si peu de temps, nous pouvons parvenir à des résultats concrets, des décisions qui impactent toute l’organisation. On n'a pas l'habitude de faire des réunions effectives avec des résultats concrets.

Les mots du Dr. Giovanna Gutiérrez quand elle dit : “J'ai été surprise de trouver toutes les réponses communes que nous avons en affrontant des questions qui sont transversales en observant combien il a été difficile dans notre activité quotidienne que ces points d’accord communs se transforment en actions. L'exercice de Coaching Systémique nous a offert la possibilité de réaliser que nous avons des problèmes et des alternatives de solution similaires et de transformer nos préoccupations ou opinions en actions possibles à réaliser... à notre portée.”

Et les mots du Dr. Cristian Montero quand il dit : “Ce séminaire a été un véritable cadeau puisqu'il nous a permis de connaître et de percevoir l'impact du coaching systémique en utilisant des méthodes et stratégies de participation. Un des grands défis pour le monde de la qualité et de la sécurité des patients reste l'implication de toute l'organisation, particulièrement des autorités formelles. En ce sens, l'atelier a contribué à l'objectif, a formé des groupes complètement organisés avec des fonctions, des temps de travail et des actions bien définies, cherchant des points de rencontre et partageant des expériences accumulées et interreliées, ce qui a permis d'aboutir à des résultats finaux effectifs. C'est définitivement un grand outil. Il ne fait aucun doute que davantage d'instances où le coaching systémique peut être présent sont nécessaires. Cette expérience a ouvert une grande porte pour continuer à avancer dans la voie de la qualité et de la sécurité de nos patients. Il ne reste plus qu'à remercier
Claude Arribas et Evelyn Muñoz pour leur participation et leur grande contribution à la Société Chilienne de Qualité Asistencial SOCCAS lors de notre XIII Congrès International. La forte affluence et l'enthousiasme perçu lors de l'atelier nous ont totalement surpris.”

Juan Carlos Ruiz, Repsol, Directeur Général Service Chimie

J’essaie de me souvenir : comment étaient nos réunions avant le coaching systémique, et je me souviens que nous savions à peu près à quelle heure on commençait, mais qu’il était très difficile de prévoir la fin de la réunion !!! Celle-ci démarrait plus ou moins quinze minutes après l’heure prévue sur la convocation mais elle ne prenait fin que quand on le pouvait, à la suite d’intéressantes mais longues discussions souvent superflues. Elles engendraient un épuisement émotionnel et des frictions improductives entre les membres de l’équipe, ne se transformaient pas en plan d’action, et empêchaient de passer en revue tous les points prévus à l’ordre du jour des comités de direction de notre division à cause du désordre et du manque de temps.

L’animation et la formation apportées par le coach à l’équipe du comité de direction nous ont permis de mettre de la méthode, de l’ordre, et d’obtenir des accords en employant moins de temps. Nous avons des règles que chacun respecte, en plus de l’énergie et de la présence, nos comités commencent à l’heure et nous avons un « pour quoi » pour chacun des thèmes que nous abordons.

En plus de ces règles d’équipe, le déploiement des rôles lors des réunions est l’autre facteur qui a eu une influence très positive et nous a permis de finir dans les temps. C’est nous qui manageons le temps et la matière/le contenu, nous qui décidons de nous donner plus de temps en fonction du « pour quoi » du thème abordé. Avec cet exercice et le déploiement des rôles, il est beaucoup plus facile de mener à bien les réunions.

Sans aucun doute, le coaching systémique et le déploiement de rôles nous ont permis de « gagner ». Nous avons gagné du temps, nous avons gagné en tant qu’équipe et nous avons découvert un nouveau levier pertinent pour obtenir des résultats extraordinaires.

Joël Chatzimichalis, PDG de Toute La Marée

J’ai rencontré pour la première fois Claude Arribas il y a de cela vingt-trois ans. Il était directeur commercial d’une belle entreprise informatique et également actionnaire. Ses conseils ont toujours été de très bonne qualité et j’ai régulièrement été satisfait des résultats.

Lorsqu’il est devenu coach, j’ai fait partie de ses premiers clients, et à ce jour, nous collaborons encore. Il m’a permis de structurer ma société de manière à ce que je devienne un patron non indispensable.

Le bienfait de cette réalisation est que j’ai des collaborateurs performants et épanouis, pas de turn-over, car nous savons également mieux recruter, et, bien sûr, les résultats sont là.

La performance de Claude Arribas provient du fait qu’il parvient à vous faire progresser en vous laissant réfléchir, en vous demandant un investissement personnel important et que, à aucun moment, il n’intervient en donnant des conseils sur la prise de décisions.

Pablo Hernando Guttierez, Repsol, Directeur de l'Innovation, coach interne.

Spontanément, ce qui me vient à l’esprit en premier, c’est que ces cinq dernières années représentent la période que je considère la plus épanouissante de ma carrière. En grande partie, je l’attribue aux nouvelles perspectives et habitudes que le coaching systémique m’a permis de découvrir, d’abord dans mon équipe, et ensuite en tant que coach.

Cette nouvelle perspective m’a permis de comprendre ce que signifie véritablement être un leader, et comment la posture du leader doit être celle du coach. Ce que je souhaite relever, c’est l’écoute (basée sur le silence et la question sans intention), l’humilité (fondée sur le respect), la conscience systémique et l’apprentissage continu.

Il m’est difficile de mesurer l’impact profond pour l’organisation, au-delà de l’amélioration évidente des réunions et des décisions de la centaine d’équipes qui ont bénéficié du coaching systémique, mais oui, je peux dire que je suis convaincu qu’une grande partie de ce que nous avons accompli ces dernières années pour développer la culture de l’innovation chez Repsol n’aurait pas été possible si, en premier lieu, en tant qu’équipe, nous n’avions pas appris à travailler de cette façon.

Alors, à tes futurs lecteurs, je leur recommande ce que tu nous rappelais en formation : « Le coaching, c’est comme l’amour. Ça se fait, ça ne s’explique pas. » Et voilà peut-être la meilleure recommandation : faire, expérimenter et évaluer alors dans quelle mesure ceci nous a aidés à atteindre nos objectifs.

Marcos Mozetic, Repsol, Directeur Général de l'Exploration Pétrolière.

J’étais responsable d’une équipe de très haut niveau de huit cadres dirigeants, beaucoup d'entre eux des personnalités au niveau international, mais tous, y compris moi, étions assez fermés à regarder nos enjeux d’un point de vue autre que purement technique, sous-estimant toute approche plus globale ou humaniste (« soft », j’aurais dit auparavant). Mais en réalité, nous avions un problème : nos réunions étaient très peu efficaces (pour ne pas dire insupportables), avec une manière de prendre les décisions que nous n’avions jamais contestée et une méconnaissance de la nature de notre groupe, de notre dynamique. C’est seulement en étant conscient de ces faiblesses que j’ai accepté de commencer un coaching avec Claude.

Il n’y a pas de miracles, mais je suis étonné de la manière dont, à partir de quelques interventions, nous commencions à voir un tableau de nous-mêmes que nous ne connaissions pas ; alors, nous avons commencé par la base, le commencement : nos réunions du comité de direction. La preuve éclatante de notre changement est apparue quand, lors d’une fusion avec une autre société, nous avons intégré des membres de l’autre équipe (provenant d’une culture « supposée plus moderne ») dans notre comité de direction et les avons vus, agréablement surpris, participer à la nôtre.

Les modifications proposées par Claude suggèrent également une ouverture et une transparence qui influent sur le rôle du leader. Bien sûr, j’ai eu peur de perdre du/le « contrôle », mais les possibles gains suffisaient à prendre ce risque. Il est surprenant de constater comment encourager la participation, l’ordre et le travail en équipe laisse plus de temps au leader/dirigeant, afin qu’il se consacre aux actions réellement importantes, et lui permet de renforcer considérablement sa responsabilité et son ascendant.

Jaime Martínez, Repsol, Directeur Général Repsol Culture et Développement.

Certainement, c’est son sourire quand il s’en va, ou peut-être cette façon d’aller droit au but quand il arrive. Son professionnalisme lorsqu’il fait face aux défis de sa mission pédagogique ou la clarté avec laquelle il oriente les détails de ses interventions.

Ce qui est sûr, c’est son souci majeur d’être un homme de son temps qui travaille pour faire pencher la balance en faveur du monde à un moment crucial de l’éternelle bataille entre l’ordre et le chaos.

Claude Arribas a introduit professionnellement au sein de Repsol le coaching systémique ; pour multiplier nos résultats, pour transformer le travail en équipe en un exercice performant, efficace et efficient.

J’apprécie son professionnalisme et sa générosité pour adapter les principes de son intervention à la réalité de Repsol, toujours grâce à un travail constant avec les membres des équipes d’innovation et de la culture corporate.

Grâce à la détermination de ses actions, nous comptons aujourd’hui sur un bon nombre de coachs internes qui aident nos équipes à obtenir des résultats supérieurs en qualité et en quantité, et Repsol dispose désormais de la capacité interne pour consolider une voie de changement et d’amélioration.

Andreu Puñet Balsebre, Repsol Petronor, Directeur Général

Tu nous as aidés, comme équipe, à réfléchir et à prendre conscience des opportunités d’amélioration pour gagner en efficacité et en cohésion.

En nous faisant prendre conscience de notre propre style de management - par rapport aux quatre profils type de management - et de notre profil culturel comme équipe, tu nous as mis sur le chemin de la performance. Mais nous avions besoin de faire un pas de plus pour connecter cette nouvelle conscience à l’action. En cela, tu nous as également accompagnés avec la mise en place d’un outil apparemment très simple et pourtant très puissant : « les réunions déléguées. » Cela nous a permis d’avoir des réunions plus courtes et avec de meilleurs résultats ; en bref, d’être plus efficaces. Tu nous as permis de découvrir et d’initier un chemin, et chaque jour nous continuons à avancer. MERCI.

Clare Hart, PDG de ILO y Présidente de FACE Hérault

Nous nous connaissons avec Claude depuis plus de vingt ans, quand nous fréquentions les bancs du CJD (Centre des Jeunes Dirigeants).

Il est intervenu il y a quelques années en tant que coach individuel puis coach d’équipe de direction de FACE Hérault (Fondation Agir Contre l’Exclusion), fondation que j’ai l’honneur de présider.

Par la suite, il est intervenu pour l’équipe commerciale de ma PME, ILO, dont je suis la P.-D.G.

Dans les deux cas, sa façon d’être a permis, d’une part, d’atteindre très vite des résultats de performance mesurables, et d’autre part, a permis aux équipes de prendre confiance en elles, de s’affirmer, de prendre des décisions, d’être beaucoup plus responsables, autonomes et moins stressées. De plus, cet état d’esprit de performance globale s’est propagé au reste des entités. Une nouvelle culture s’est développée.

En tant que dirigeante ou présidente, sans participer directement à ces actions, j’ai moi-même pris confiance en eux, en moi, pour pouvoir mieux déléguer, donner plus de responsabilité, ce qui m’a permis de m’engager dans le milieu patronal et politique tout en préservant ma vie privée, le plaisir de faire et de partager.

Julia Gimenez Garcia, Repsol, Responsable des personnes et de l'organisation dans les domaines corporatifs, coach interne.

L’expérience de participer à ce projet a été un cadeau pour moi, tant d’un point de vue professionnel que personnel.

Dans l’entreprise où je travaille, nous passions beaucoup de temps en allées et venues dans des réunions informatives et, c’est sûr, très participatives, avec des agendas remplis de réunions pas toujours productives. Le coaching systémique a considérablement amélioré, d’après mon expérience, ces réunions. Il les a rendues plus productives, et surtout, il a permis une meilleure et plus efficace relation au temps, avec la nécessité de concrétiser des plans d’actions avec des responsables et des délais, en permettant aux équipes de grandir en tant qu’équipes. Nous nous y attelons, ce processus prend du temps et nous allons dans la bonne direction.

J’ai eu la chance de faire partie d’une équipe où l’on a mis en œuvre le coaching systémique, ainsi que l’expérience d’aider d’autres équipes à grandir comme équipes, dans une approche « win to win » pour tous.

J’ai grandi et progressé professionnellement et j’ai cette satisfaction personnelle de pouvoir aider les autres.

Bertrand Delvolvé, Veolia, Directeur Développement RH

Claude conserve une grande simplicité malgré une réelle puissance dans des situations complexes, conjuguant prudence avec rapidité d'exécution, bienveillance avec ambition et transformation. À lire… et à rencontrer…

Jean-Pierre Amat, PDG de Novovis

Un chef d’entreprise d’une PME doit être sur tous les fronts : finance, marge, chiffre d’affaires, relation avec les banquiers, produits, productions, juridique, social, RH, management, achats, commerce, marché, concurrence, innovation, relation avec le monde extérieur… et bien sûr, se maintenir en forme et s’occuper de sa vie familiale.

C’est un choix que j’ai fait, je l’assume car j’y prends du plaisir. Toutefois, ces différents points évoluent. Ils n’évoluent pas tous ensemble. Avec la crise, l’avènement de la mondialisation qui précipite tout, l’exigence où le moindre détail fait gagner un point ou deux de marge font qu’il ne peut plus être un expert dans tous ces domaines, et pourtant, l’entreprise, pour être performante, a besoin de cette expertise. Alors, pour que l’entreprise soit efficiente, le chef d’entreprise, naturellement, ou par ego, ou facilité, se focalisera plus sur ce qu’il aime, sur son domaine d’expertise, sur son terrain de prédilection. Pour que l’entreprise performe, il devra permettre à ses collaborateurs d’exceller dans les autres domaines. Alors, avec qui ? Comment ? Pour quelle raison ? Comment mesurer l’efficacité ? Qu’est-ce que je veux réellement ?

Tout un tas de questions en fond sonore qui nuisent à l’efficacité du dirigeant d’entreprise.

Avec Claude, j’ai pu sortir de mon isolement et créer un véritable comité de direction qui a su prendre des décisions sans que je sois présent, ce qui m’a permis d’être plus efficace sur mon domaine d’expertise et de me soulager.

Il me paraît important de préciser qu’après la mise en place, l'effet des premiers CODIR a permis de remplacer progressivement les cadres qui n'ont pas su s'adapter aux exigences en constante évolution de l'entreprise.

Le comité met en avant les situations ou personnes qui sont des éléments solides et non fluides, grippant ainsi le mécanisme de l'évolution et permet au chef d'entreprise de prendre les bonnes décisions.

Au départ, ce changement de paradigme peut donner l’impression d’une perte de contrôle, mais au contraire, il permet de développer la confiance, de déléguer, tout en contrôlant et mesurant le juste nécessaire. L’entreprise a été plus forte, elle anticipe beaucoup plus et beaucoup plus vite, ce qui nous permet de gagner en rentabilité, en qualité de travail et de relation.

Marie Laure Galland, PDG de CAPWAN

Nous avons commencé le travail de coaching ensemble en 2003. Je venais de créer à l’époque une nouvelle société dans le domaine informatique de gestion en France et j’avais des problématiques, diverses et classiques dans les PME, sur comment performer, comment créer un véritable ADN, comment apporter de la cohérence dans notre CODIR, qui comportait cinq associés, et entre les équipes opérationnelles, comment responsabiliser chacun et rendre un maximum d’autonomie aux collaborateurs, comment améliorer l’esprit de délégation…

Tout d’abord, à travers un travail de coaching commercial, Claude Arribas, avec sa longue expérience en entreprise, a pu dynamiser chaque personne, leur apprendre l’écoute d’elle-même et des autres, pour leur faire atteindre les objectifs souhaités.

Puis, nous avons poursuivi par le coaching d’équipe, et il nous a apporté des outils concrets pour devenir efficients dans nos réunions, et sur le suivi de nos prises de décision à travers un équilibre entre rigueur et bienveillance. Il a contribué à une prise de conscience de chaque personne sur son rôle, sa position et ses atouts au sein de l’entreprise. Nous avons démultiplié nos forces et mieux compris nos faiblesses pour les transformer en de formidables atouts.

Avec l’évolution de mon poste et de ma société, l’expérience s’est poursuivie en coaching individuel de direction, un véritable révélateur pour un dirigeant qui, sans cesse, doit prioriser ses actions, gérer les conflits, piloter sa stratégie et être agile en permanence. Nous avions instauré un rythme de séances par téléphone qui pouvaient être très courtes. Mon ressenti à ce jour est que plus la séance de coaching est courte, plus elle a d’impact sur notre efficacité et sur les décisions qui peuvent être prises a posteriori.

À l’époque, nous étions assez révolutionnaires, car les PME utilisaient rarement les services d’un coach. Alors que la solitude du dirigeant devrait le pousser vers ces outils pour sortir des cadres de référence habituels et prendre de la hauteur.

La plus grande richesse du coaching systémique a été basée sur nos apprentissages face à nous-même et face aux autres, une véritable transformation. Chaque personne a donné du sens à ce qu’elle apportait au groupe et à l’entreprise. L’approche de Claude Arribas dans ses différentes interventions nous a bousculés, il nous a apporté son écoute, sans jamais intervenir sur le fond. Ce détachement nous a donné plus de force et nous a ouvert d’autres perspectives. Une expérience de plusieurs années pour les managers qui restera acquise.

J’ai aussi exploré le coaching en mode supervision pendant trois ans au sein d’une équipe de coachs pilotée par Claude Arribas. Une nouvelle expérience que j’ai pu mettre en pratique professionnellement et personnellement chaque jour. Ce travail a été efficace dans la continuité pour poursuivre mes points d’amélioration.

Pour synthétiser les résultats positifs que le coaching systémique crée au sein d’une organisation et sur les individus : il nous apprend à améliorer notre écoute, explorer le vide créatif, catalyser les différences, booster nos idées et transformer nos visions. Il nous pousse vers le dépassement de nos capacités pour nous faire performer et donc améliore notre contribution et nos résultats dans chaque organisation dans laquelle nous nous engageons.

Claude Arribas, un grand professionnel du coaching qui impulse les évolutions du management de demain.

Gema Santos Martín, Repsol, Experte en Gestion de l'Information E&P (Exploration et Production) et Conseillère Principale en Performance

Il est rare de trouver des gens qui se reconnaissent eux-mêmes, de manière sincère et ouverte, comme des gens qui n’écoutent pas ou qui écoutent peu.

Moi-même, de par mon éducation et mon engagement passé, je me suis toujours considérée comme quelqu'un qui écoute.

Mais la question n’est pas tant dans le « combien » ou « qu’est-ce que » tu écoutes.

Ce que j’ai commencé/avons commencé à apprendre sur nous à travers Claude, c’est qu’il y avait une énorme quantité de choses que nous n’écoutions pas, et nous avons alors commencé à nous écouter.

Particulièrement moi, comme leader de l’équipe.

Même en étant absolument convaincue que l’équipe est le sens de votre propre existence et que l’accompagner est votre principale mission, j’ai compris à travers ce regard ferme et énergique qu’a Claude que je regardais sans voir et que j’écoutais sans entendre.

Aujourd'hui, je reconnais que ça a été très dur. J’ai même été en colère contre Claude. En effet, remettre les pieds sur terre et s’apercevoir que l’on n’a pas les bonnes chaussures génère désagréments et inconfort, aussi bien à moi qu’à mon équipe.

Claude travaille et nous donne les bases pour être une équipe de haute performance, connectée, formant une entité unique qui s’appuie sur les individus mais prend la forme d’une véritable équipe.

Avec le temps et avec le nouveau rôle que j’ai maintenant dans l’organisation, je peux affirmer que nous ne sommes pas parvenus à être une équipe de haute performance ; toutefois, oui, nous avons réussi à être une équipe, et chacun est devenu meilleur.

Ce n’est pas de la magie, c’est de la méthode, de l’expérience et une conviction que l’on peut atteindre des objectifs qui semblent apparemment impossibles.

Frédéric Salles, PDG de Matooma

En tant que start-up en pleine croissance, nous avons fait appel à Claude à plusieurs moments de notre évolution.

Une start-up est toujours en pleine ébullition. De plus, quand elle vit de fortes croissances, elle est sollicitée de tous bords, tant au niveau des levées de fonds que des marchés innovants. Sa réussite passe par les bons choix. Avoir quelqu’un qui n’a aucun intérêt dans votre projet si ce n’est celui de vous permettre d’atteindre vos objectifs est rassurant et permet de prendre de la hauteur.

Dans un premier temps, nous avons eu besoin de nous structurer, car il était impossible pour moi de vouloir tout gérer de front. L’approche systémique de Claude nous a permis de nous appuyer sur un véritable comité de direction, de choisir les personnes adéquates pour le continuum de l’entreprise. Forcément, au début, ce n’est pas facile, le résultat en vaut la peine.

Voir son comité de direction prendre des décisions, les mettre en application, proposer des solutions, se responsabiliser sur les chiffres et le devenir de l’entreprise est prestigieux. C’est rassurant, ça permet de sortir de son isolement à chacun, y compris moi, de s’occuper des tâches principales et nécessaires. Le superflu est oublié. Comme dit Claude, nous nous sommes structurés façon start-up en rajoutant à notre culture digitale une coloration industrielle.

Fort de cette responsabilisation, un an plus tard, nous avons sollicité Claude pour qu’il nous accompagne sur une journée afin de poser les prochaines années de Matooma. Son rôle est très simple, sa présence nous a suffi à oser prendre des décisions nouvelles en utilisant notre ADN digitale.

Nous avons obtenu le prix « Champion de la croissance 2017 » sur une liste de cinq cents entreprises françaises ayant réalisé entre 2012 et 2015 une croissance significative de leurs chiffres d’affaires.

Cette approche simple et délégative que nous permet Claude est un véritable catalyseur de performance financière mais aussi de la bonne ambiance qui règne chez Matooma.